Dégradation de la situation sécuritaire dans le Nord du Mali

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Les combattants du Cadre stratégique permanent, (CSP), une coalition de groupes armés du Nord malien, se sont retirés de la ville de Léré (Nord) par crainte d’éventuels bombardements de l’armée malienne, ont confirmé plusieurs sources civiles locales ainsi qu’un porte-parole de cette coalition. Le CSP avait attaqué et pris le contrôle dimanche après-midi du camp militaire malien de cette ville du cercle de Niafunké, dans la région de Tombouctou, «après deux heures de combat» avec l’armée malienne. Les groupes armés rebelles affirment également avoir abattu un avion de l’armée malienne et finalement les assaillants se sont totalement retirés de Léré entre 2 et 3 heures du matin, après avoir ratissé la ville. Aucun bilan n’a été transmis par le CSP, ni par l’armée malienne qui avait dénoncé dans des communiqués dimanche soir et hier lundi dans la matinée, une «attaque des forces du mal contre le camp militaire de Léré», assurant être mobilisée « pour défendre ses positions et pour maintenir la sécurité des populations». Le 12 septembre, le CSP avait mené une attaque rapide contre la base des Forces armées maliennes (FAMa), à Bourem, dans la région de Gao, avant de se retirer. Les deux camps avaient fait état de dizaines de morts, mais aucun bilan fiable et indépendant n’a pu être recoupé. Sahel-Intelligence

 

 

Opacité ou complicité sur la Gestion parcs automobiles de l'Etat

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La gestion des véhicules administratifs a fait l’objet d’un intérêt particulier ces trois dernières années plusieurs véhicules ont été ramenés de l’intérieur du et reversés au parc de l’état après la disparition de plusieurs véhicules selon les déclarations des autorités nationales.

Sont réputés véhicules administratifs en mauritanie : Les véhicules et engins mis à la disposition des Institutions, des Départements Ministériels, des collectivités, des organismes rattachés ou sous tutelle et en général de tous Services Publics, dont l’acquisition a été financée par des fonds publics ;

- Les véhicules et engins mis à la disposition des Institutions, des Départements Ministériels, des collectivités, des organismes rattachés ou sous tutelle et, en général de tous services publics dont l’acquisition a été obtenue sur financement extérieur, dons ou mise à disposition à titre temporaire ou définitif.

Les véhicules administratifs sont classés en trois catégories distinctes :

- Les véhicules de représentation ;

- Les véhicules de fonction ;

- Les véhicules de service.

Les véhicules de représentation sont ceux utilisés, dans l’exercice de leur fonction, par les chefs des Institutions, les membres du Gouvernement, les représentants de l’Etat dans les circonscriptions administratives et les représentants à l’extérieur.

Les véhicules de fonction sont ceux utilisés, dans l’exercice de leur fonction, par les hauts fonctionnaires de l’Etat Secrétaires Généraux, Directeurs généraux, Directeurs etc

Les véhicules de service sont des véhicules de liaison, de tournée ou utilisé à usage mixte, pour le fonctionnement normal des services.

Le nombre des véhicules de service normalement est défini par l’organigramme des véhicules établi par chaque Institution et département ministériel bref…

Depuis un certain temps pour tromper la vigilance des autorités et créer la confusion des institutions se permette de mettre sur les véhicules de l’état des logos des partenaires pour intimider les agents de la force public soi-disant que les véhicules appartiennent à la banque mondiale à l’UE ou autres bailleurs. La publicité sur un véhicule immatriculé SG est une insulte pour la nation et porte préjudice à l’image de l’état.

La forme d’immatriculation est connue pour toute catégorie d’usager cd – it –tt- if et pour chaque région du pays AA etc… .

Les ministres reviennent à la pratique ancienne d’amener avec eux les voitures quant ils quittent les départements.

Les instructions données plusieurs fois par le Président de la république parfois en conseil de Ministre ont servis seulement à trouver une autre formuler de montrer la fragilité du système de gestion des véhicules du gouvernement qui circulent ou garés au vu et au su de tout le monde devant tous les départements avec des logos qui disent oui ont travaillent pour des organismes étrangers et personne ne peut nous arrêter même la volonté du président et de son gouvernement.

Il urge d’arrêter définitivement ces pratiques qui portent préjudice à la souveraineté nationale et mettre en place en dispositif règlementaire pour gérer les véhicules administratifs   et interdire à une voiture immatriculé SG autre signe ; nom de ministère ou publicité. Les véhicules, l’état peut les retirer et les envoyer dans un autre département inscrire le nom d’un ministère est une aberration.

Imaginez un parc avec les logos du monde entier accueillir une délégation internationale, on peut lire sur les voitures les noms de toutes les organisations mondiales avec leurs logos et le nom des ministères sur d’autre, la première question que le visiteur posera est ce que je visite un Etat ou est-ce que je suis sur une planète ou territoire commun à l’humanité.

Nous reviendrons en détail sur ce sujet.

Mohamed moustapha

 

Ministre de l’Hydraulique : 115 grands projets connaissent un retard dans leur achèvement

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AMI - Le Ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement, M. Ismaël Ould Abdelvettah, a effectué une visite d’inspection aux ateliers des projets en cours d’exécution, dans le cadre de la deuxième phase du projet d’approvisionnement en eau potable de la région d’Aftout-Chergui à partir de l’embouchure de Gleita et de Chelkhet-Tiyab dans la wilaya du Gorgol.

Le Ministre, accompagné du wali adjoint, par intérim wali du Gorgol, M. Mohamed Mahmoud Ould Mohamed El-Mokhtar, a passé en revue les travaux en cours dans l’usine de traitement des eaux brutes d’une capacité de 10 000 m3 par jour, située à Chelkhat-Tiyab, ainsi que les travaux en cours pour construire un château d’eau dans le village de Silio.

Il a également présidé une réunion avec les équipes encadrant le projet, et les a exhortées à respecter les délais précisés dans les cahiers de charges.

A l’issue de la visite, le Ministre a fait une déclaration à l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI) dans laquelle il a souligné que cette visite s’inscrit dans le cadre du suivi et de l’évaluation des projets en cours d’exécution, et qu’elle lui a permis de constater sur le terrain le niveau d’avancement des travaux des projets liés à son secteur, et de s’assurer de l’étendue de leur conformité aux exigences techniques stipulées dans les cahiers de charges, en plus de respecter les délais de réalisation des travaux.

Il a ajouté qu’il a constaté un retard dans l’achèvement de certains projets, et a donné des instructions à leurs responsables de redoubler d’efforts pour achever ces projets dans les délais impartis, faute de quoi ils subiront la pénalité qui en résulte, soulignant qu'il n’y a pas de marchandage pour retarder les travaux au-delà des délais.

Il a déclaré que la deuxième phase du projet d’approvisionnement en eau potable de la région d’Aftout Chergui connaît un retard, car les travaux devaient se terminer au cours du deuxième mois de l’année prochaine, soulignant que le ministère effectuera les suivis nécessaires.

Il a déclaré que Son Excellence le Président de la République, M. Mohamed Ould Cheikh El-Ghazouani, a informé le gouvernement que 115 grands projets connaissent un retard dans leur achèvement, et que cela est inacceptable, indiquant que de nombreux projets connaissent également un retard dans leur réalisation.

Par ailleurs le Ministre a souligné que l’état des projets en cours d’exécution dans le pays est inacceptable et que Son Excellence le Président de la République a donné ses instructions au gouvernement de poursuivre les travaux jusqu’à ce que tous les projets soient achevés à temps, indiquant que la responsabilité du suivi incombe au gouvernement, qui a reçu tous les pouvoirs et les capacités pour poursuivre le travail et en évaluer les étapes.



Le Burkina Faso expulse l'attaché militaire français pour "activités subversives", Paris s'insurge

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BFMTV - Le Burkina Faso, dirigé par une junte issu d'un coup d'État, somme l'attaché militaire de l'ambassade de France dans le pays de quitter le territoire d'ici "deux semaines".

L'attaché militaire français chassé du Burkina Faso. Les autorités ont décidé "de retirer l'agrément de M. Emmanuel Pasquier, attaché de défense près de l'ambassade de France au Burkina Faso pour activités subversives", a écrit le ministère burkinabé des Affaires étrangères dans un courrier adressé jeudi à Paris, lui donnant "un délai de deux semaines pour quitter le territoire burkinabè".

La lettre ne donne aucune explication concernant les "activités subversives" reprochées à l'attaché de défense. Le gouvernement burkinabè issu d'un coup d'État, a par ailleurs décidé la fermeture de la mission militaire burkinabè à Paris, indique ce courrier.

"L’accusation d’activités subversives est évidemment fantaisiste", a réagi à Paris un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères.

Ambassadeur rappelé

Les relations entre la France et le Burkina Faso n'ont cessé de se dégrader depuis l’arrivée au pouvoir par un coup d’Etat militaire en septembre 2022, le deuxième en huit mois, du capitaine Ibrahim Traoré.

En mars, le Burkina Faso avait dénoncé un accord militaire de 1961 avec la France, quelques semaines après avoir exigé et obtenu le retrait de la force française "Sabre" de ce pays en proie à des violences djihadistes.

Le gouvernement avait également demandé le départ définitif de tous les personnels militaires français en service dans les administrations militaires burkinabè.

L'ambassadeur de France à Ouagadougou avait lui été rappelé après le coup d'État de septembre 2022 et n'a pas été remplacé depuis.

Contacts avec la Russie et l'Iran

Dans un entretien diffusé la semaine dernière par la Radio télévision du Burkina (RTB, publique) le capitaine Traoré avait affirmé ne pas en vouloir au "peuple français", mais à ses dirigeants. "Il faut qu'on accepte de se regarder d'égal à égal" et "qu’on accepte de revoir toute notre coopération", avait-il déclaré.

Il avait également remis en question l'efficacité de la présence des soldats français au Burkina Faso dans le cadre de la lutte antijihadiste, dont il a exigé le départ en janvier.

Le Burkina cherche depuis de nouvelles coopérations, en particulier avec la Russie. Une délégation russe a échangé fin août avec Ibrahim Traoré à Ouagadougou sur des questions de développement et de coopération militaire et le capitaine Traoré s'est rendu en juillet à Saint-Pétersbourg au sommet Russie-Afrique.

La ministre des Affaires étrangères burkinabè, Olivia Rouamba, a quant à elle récemment manifesté lundi le souhait de son pays de "renforcer la coopération bilatérale" avec l'Iran, lors d'un entretien à Téhéran avec le président Ebrahim Raïssi.

Spirale de violence jihadiste

Depuis 2015, dans la foulée de ses voisins du Mali et du Niger également dirigés par des militaires, le Burkina est pris dans une spirale de violences perpétrées par des groupes jihadistes affiliés à l'Etat islamique et à Al-Qaïda.

Elles ont fait plus de 17.000 morts civils et militaires depuis 2015, dont plus de 6.000 depuis le début de l'année 2023, selon l'ONG Acled.

Le Burkina, le Mali et le Niger depuis le coup d'Etat ayant renversé le 26 juillet le président élu Mohamed Bazoum, ont adopté une posture résolument opposée à la politique française dans la région du Sahel.

F.B. avec AFP

Dakhlet Nouadhibou : le wali sauve la vie d’un enfant issu d’une famille pauvre

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Le wali de Dakhlet Nouadhibou, M. Mahi Ould Hamed, prend la décision d’évacuer un enfant issu d’une famille très pauvre, cet acte améliore de l’image de marque de notre administration. L’accessibilité de cet administrateur a permis à des volontaires de le saisir et sa réponse ne s’est pas faite attendre. Cette réaction a été très bien appréciée par plusieurs les membres de plusieurs groupes sociaux qui ont témoigné du comportement exemplaire de ce wali et sa disponibilité pour servir les pauvres.

Voilà un exemple de fonctionnaire qui croit et exécute les orientations du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.

Les membre de ces réseaux sociaux témoignent de son engagement à servir dignement et fidèlement le pays, ils le félicitent et lui souhaitent plein succès dans sa mission.

Mohamed moustapha

 

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